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vendredi 15 mars 2024

Dany Boon - De l'autre côté du lit (2008) - ★★★★☆☆☆☆☆☆

 


 

Après avoir évoqué le sympathique mais pas extraordinaire Le code a changé de Danièle Thompson, poursuivons le cycle consacré à Dany Boon avec De l'autre côté du lit de la réalisatrice, scénariste et actrice française Pascale Pouzadoux. Laquelle signera en outre deux ans plus tard en 2011, l'infâme comédie La croisière avec Charlotte de Turckheim, Antoine Duléry, Line Renaud et Marilou Berry... Si cela peut vous aider à vous faire une opinion sur ce que peut receler d'indigent De l'autre côté du lit......... Car sur une échelle des qualités, nous descendons encore d'un pallier en comparaison de Bienvenue chez les Ch'tis qui douze mois plus tôt attirera plus de vingt millions de spectateurs dans les salles rien que dans notre pays. L'un des rares intérêts du second long-métrage de Pascale Pouzadoux demeure dans cet étonnant et franchement improbable couple qu'elle bâtit ici autour de Dany Boon et de la toujours délicieuse et pétillante Sophie Marceau. Il est sans doute cruel de revenir sur cette séquence gênante dont Sophie Marceau fut victime à l'époque de La boum me semble-t-il et lors de laquelle un journaliste assez peu délicat l'avait jugée de très mauvaise actrice, mais lorsque l'on assiste à sa prestation dans la comédie de Pascale Pouzadoux, on pourrait presque copier/coller la remarque désobligeante du dit journaliste pour en faire le symbole de son incarnation du personnage d'Ariane Marsiac. Bien que sa beauté permette qu'on lui pardonne presque tout (j'entends une voix robotisée prononcer : ''Mode macho activated !''), l'actrice alors âgée de quarante-deux ans en fait des caisses, surjouant, caricaturant, bouffant littéralement son compagnon de fiction Dany Boon qui, le pauvre se contentera presque des restes. Le contraste est d'ailleurs relativement saisissant et peu crédible lorsque l'on sait que le personnage qu'il interprète, Hugo Marsiac, est le PDG d'une grande entreprise alors qu'une fois l'étrange contrat signé avec sa femme, on le découvre quelque peu apathique ! Adapté par la réalisatrice elle-même à partir du roman éponyme de la journaliste et romancière Alix Girod de l'Ain, De l'autre côté du lit est typique des légions de comédies qui jusqu'à aujourd'hui gangrènent le septième art.


Formatée pour plaire à un public peu exigeant, tout y est d'une ''propreté'' exaspérante. Même lorsqu'il s'agit d'aborder le sujet de l'adultère. Complètement ringard, le film est peuplé de symboles qui vont en ce sens. Pourquoi infliger notamment à Dany Boon/Hugo la conduite d'une petite voiture entièrement rose ou le faire débarquer à l'école de ses deux enfants en pyjama ? Comme si la pauvreté des dialogues pouvait être palliée par quelques subterfuges d'ordre décoratifs ou vestimentaires....... Pascale Pouzadoux en profite d'ailleurs pour faire un clin d’œil au première long-métrage réalisé deux ans auparavant par son principal interprète masculin. En effet, alors que le personnage qu'il incarnait auprès de Michèle Laroque dans La maison du bonheur en 2006 était confronté à deux artisans du bâtiments particulièrement incompétents (excellents Laurent Gamelon et Zinedine Soualem), Pascale Pouzadoux nous refait le coup mais de manière très poussive. Aux côtés de Sophie Marceau et de Dany Boon l'on retrouve quelques acteurs bien connus du cinéma français, tel Roland Giraud qui n'était plus apparu sur grand écran depuis 18 ans après de Coline Serreau (suite de 3 hommes et un couffin) en 2003. L'on comprendra qu'après l'odieux assassinat de sa fille Géraldine Giraud à l'âge de trente-six ans le 1er novembre 2004 il ait désiré se retirer un temps des plateaux de cinéma. Il interprète ici le bras-droit de Hugo, Adolphe Nicard. Quant à Antoine Duléry, il deviendra un interprète régulier de la réalisatrice dès l'année 2003 avec Toutes les filles sont folles. Ici, il incarne le rôle de Maurice Cantuis, le conseiller du couple. Dans ce récit où les personnages interprétés par Sophie Marceau et Dany Boon vont tenter de régler leurs problèmes de couple en inter-changeant leurs fonctions, nous retiendrons qu'agir en esprit survitaminé n'est pas forcément un atout et qu'être plus posé peut au contraire se révéler une aubaine. Dans cette comédie où s'affrontent une Sophie Marceau surexcitée et un Dany Boon parfois léthargique, c'est peut-être finalement ce dernier qui l'emporte. Quant à elle, Pascale Pouzadoux signe une œuvre divertissante mais pas forcément drôle et dont les répliques font rarement mouche. Un comble pour un film qui se veut être une comédie...

 

vendredi 9 novembre 2018

Simple Mortel de Pierre Jolivet (1991) - ★★★★★☆☆☆☆☆




Les petits hommes verts sont de coquins personnages. A moins qu'il ne s'agisse de Dieux qui, assoupis au dessus de la voûte céleste, ne savent pas comment tuer le temps. Pierre Jolivet est habituellement le genre de cinéaste dont j'apprécie le travail. Très critique envers notre société (les comédies Ma Petite Entreprise et La très très grande Entreprise), ou plus simplement envers l'homme (Force Majeure), et parfois même capable de conquérir des terres inédites (Le Frère du Guerrier), le frère de Marc, l'humoriste, oublie en cette année 1991 de fournir au spectateur un fond aussi profond que la forme. Rare exemple de science-fiction à la française à l'époque, Pierre Jolivet opte pour un minimalisme qu'on ne lui reprochera pas (Enki Bilal ne s'était pas gêné pour nous offrir un Bunker Palace Hôtel génial, mais en suspension, deux ans auparavant). Son héros est un homme ordinaire qui va vivre une histoire extraordinaire. Mais alors que sur le papier le synopsis attise la curiosité des spectateurs en mal de science-fiction intelligente, le résultat à l'écran m'a laissé perplexe. C'est à me demander si le film que j'ai eu entre les mains et bien celui qu'encensent certains...

Déjà, le cinéaste offre le rôle principal à un interprète que l'on n'a pas l'habitude de voir couramment. Ce qui, à ce sujet, peut tout aussi bien déranger que renforcer le réalisme du récit, le spectateur étant alors davantage contraint de s'identifier au personnage plutôt qu'à l'acteur qui l'incarne. Philippe Volter, pardon, Stéphane Marais reçoit de curieux messages en ancien gaélique à travers des appareils de radiodiffusion lui enjoignant d'accomplir des missions mais sans en révéler la moindre source à quiconque sous peine de voir son entourage mis en danger. Sous forme d'énigmes, le héros est confronté à des situations de plus en plus dangereuses, allant jusqu'à la survie de la planète toute entière.

Avec un tel synopsis, Pierre Jolivet détenait un sujet en or. Pourtant, malgré des premiers instants intriguant et laissant rêveur, le film finit peu à peu par s’essouffler. Non pas que la forme exempt d'effets-spéciaux nuise au récit, mais le problème de Simple Mortel est d'avoir oublié d'apporter au spectateur une conclusion crédible. Et même sans être crédible, une conclusion tout court. Pierre Jolivet conte avant tout le désarroi d'un individu qui, quoi qu'il fasse, ne peut empêcher les drames qui s'accumulent autour de lui. Certaines situations frisent le ridicule, comme la réaction de son meilleur ami Fabien (Christophe Bourseiller), qui pour justifier son sort, réagit de manière peu crédible. Sans être perfectionniste, un détail assez décourageant m'a empêché d'être totalement plongé dans le récit : la post-synchronisation. Assez mal fichue, elle n'a cessé de me rappeler que j'étais devant une œuvre de fiction. Par conséquent, il me fut impossible d'être totalement happé par un long-métrage qui de toute manière, me semble-t-il, se fiche un peu de son auditoire dès lors qu'il se conclue sans que Pierre Jolivet ne nous apporte la moindre explication sur l'origine des voix et le sens profond de leur intervention. Une oeuvre de science-fiction bâclée. Une déception...

lundi 10 septembre 2018

Les Vieux Fourneaux de Christophe Duthuron (2018) - ★★★★★★★★☆☆




Lorsque l'on entre dans une salle de cinéma, c'est dans la nature humaine de choisir un film en fonction du nom du réalisateur, des interprètes, ou bien même de l'histoire. Concernant Les Vieux Fourneaux (inspiré de la bande dessinée franco-belge du même nom de Wilfrid Lupano et Paul Cauuet), il devient très vite évident que le choix du spectateur s'est tout d'abord porté sur le noms des acteurs. Et même si le récit tourne autour de trois vieux compagnons, le spectateur pourra élargir son champ d'intérêt non pas seulement autour de Pierre Richard, d'Eddy Mitchell ou de Roland Girault, mais également de Myriam Boyer et de Henri Guybet. L’œuvre de Christophe Duthuron, dont il s'agit ici de la première réalisation pour le grand écran, même s'il est avant tout centré sur ses trois principaux personnages, peut être vu comme un hommage à une partie de la vieille garde du cinéma français à une époque où le jeunisme est roi. Lequel sera ici uniquement incarné par l'actrice Alice Pol qui dans le cadre, se fond plutôt bien. Ici, il ne faudra chercher d'originalité que dans la réunion de trois acteurs qui n'avaient jamais joué ensemble. Car tout commence comme dans bon nombre de longs-métrages.
Un enterrement. Celui de Lucette, épouse d'Antoine. C'est l'occasion ou jamais pour Mimile et Pierrot de retrouver celui qu'il avaient perdu de vue depuis des années. L'occasion également de sortir Mimile de sa maison de retraite et d'écarter pour un moment le réactionnaire Pierrot de sa routine de délinquant à la petite semaine s'en prenant au système en bouchant notamment les serrures des institutions capitalistes !


Malgré l'âge de ses interprètes, Les Vieux Fourneaux est un souffle d'air relativement frais qui ne fait pas l'impasse sur une catégorie des spectateurs en ne visant que les plus jeunes d'entre eux. La preuve que même les anciens ont encore des choses à raconter même s'ils n'ont plus rien à prouver depuis longtemps. A commencer par Pierre Richard qui retrouve le personnage qu'il se façonna durant le courant des années soixante-dix. Celui du Distrait, de Je sais rien, Mais je dirai Tout... un doux rêveur. Un gaffeur. Mais réactionnaire avant tout, n'hésitant jamais à dire ce qu'il pense des institutions, surtout lorsqu'il s'agit des politiques, de l'Armée, ou de l’Église. Le cheveu fou, le regard myope, et cette éternelle capacité à s'agiter comme si les années n'avaient pas de prise sur lui, il mène la danse avec brio, nous replongeant très loin en arrière. Le Pierre Richard que l'on aime et qui s'était peut-être un peu effacé au bénéfice d'une interprétation non moins excellente (le superbe Un Profil pour Deux de Stéphane Robelin).

A ses côtés, Eddy Mitchell. Le chanteur. L'acteur, surtout. Qui oserait oublier le Nono de Coup de Torchon de Bertrand Tavernier, Albert Grelleau de La Totale de Claude Zidi, Gérard Tilier, de Le Bonheur est dans le Prè d’Étienne Chatiliez, ou encore (oserais-je), Frank du cultissime nanar Frankenstein 90 d'Alain Jessua ? Mais aussi, qui a vraiment envie de se rappeler du navrant L'Oncle Charles, signé lui aussi par Étienne Chatiliez ? Ici, il incarne le personnage de Mimile, un individu que l'on considérerait presque d'anecdotique en comparaison de ses deux compagnons, certains critiques ayant fait l'amalgame entre son interprétation forcément moins volubile que celle de Pierre Richard ou Roland Girault, et la mollesse de son personnage. Une évidence pourtant si l'on considère qu'Eddy Mitchell y incarne un personnage ayant moins bien vieilli que ses deux comparses.


 Et puis, en face de ces deux excellents interprètes, Roland Girault. Le Pierre de Trois Hommes et un Couffin de Coline Serreau, ou le personnage principal de La Vie dissolue de Gérard Floque de Georges Lautner pour ne citer que ces seuls exemples. Un acteur rare. N'apparaissant plus que très ponctuellement sur grand écran.

Les Vieux Fourneaux n'est pas qu'un prétexte pour réunir ces trois monolithes du septième art. C'est également l'occasion pour Christophe Duthuron de nous offrir une comédie émouvante, et surtout largement plus poétique que celles dont nous abreuve un cinéma français qui en la matière s’appauvrit dangereusement depuis quelques années malgré quelques coups d'éclats (Tout le Monde Debout de et avec Franck Dubosc, Le retour du Héros de Laurent Tirard tous deux sortis cette année). Le cinéaste possède cette capacité d'offrir aux spectateurs, autant d'occasions de rire que de verser des larmes. Et c'est là, alors, que le scénario entre en jeu. Car ce qui n'aurait pu être qu'un road movie pour club du troisième âge se transforme en un conte magnifiquement mis en images (quelques merveilleux effets visuels accompagnent le sujet), et surtout interprété par quelques seconds rôles au moins aussi importants que les trois cités plus haut. Henri Guybet, dans la peau de Garan-Servier, un drôle de personnage libidineux, sénile, mais ô combien attachant. Puis celle que l'on regrettera de n'avoir pas vu plus longtemps à l'écran : l'actrice Myriam Boyer, qui dans le rôle de Berthe, portera en partie sur ses épaules la douloureuse responsabilité d'une tragédie qui aura marqué tout un village avant d'émouvoir une salle de cinéma toute entière... Un petit bijou de tendresse où le rire et l'émotion se mêlent merveilleusement bien...



mardi 12 septembre 2017

Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré (1983) - ★★★★★★★☆☆☆



Nous sommes en pleine seconde guerre mondiale. La France est envahie par l'armée allemande et parmi les citoyens, certains ont choisi la résistance quand d'autres collaborent avec l'ennemi. Les Bourdelle, eux, n'ont pas oublié les valeurs inculquées par leur ancêtre André Bourdelle, mort stupidement alors qu'il s'apprêtait à entrer en action contre l'envahisseur. Habitant un château, son épouse Héléna et leur descendance sont contraints de déménager dans la cave de leur luexueuse demeure, les allemands ayant décidé de s'y installer pour un certain temps. Le fait qu'Héléna soit une cantatrice célèbre joue en sa faveur ainsi qu'en celle des siens. Appréciés du général Herman Spontz, officier de la Wermarcht, les Bourdelle peuvent compter sur une toute relative aisance de vie malgré l'humidité qui pèse sur l'humeur de certains. Et notamment de Michel Taupin, professeur de latin qui contre la somme de mille deux-cent francs mensuels, loge avec la famille de résistants. Parmi eux, pourtant, se trouve Guy-Hubert Bourdelle. fils d'André et Héléna Bourdelle. Contrairement à ses parents, ce coiffeur stagiaire semble apprécier la présence des allemands sous leur toit. Tout se complique le jour où la famille accueille et cache chez elle un soldat anglais blessé. Jean-Robert Bourdelle, que tout le monde appelle Papy et qui n'est autre que le plus vieux membre de la famille, essaie contre mauvaise fortune bon cœur de maintenir une certaine cohésion entre tous. Mais la présence des allemands au dessus de leur tête et celle du soldat anglais dans la cave complique tout. Heureusement, ailleurs, celui qui se fait appeler Super-Resistant va peut-être enfin pouvoir mettre en terme à l'envahisseur...

L'impressionnante liste d'interprète que constitue le casting de Papy fait de la résistance donnerait presque le vertige. S'y croisent plusieurs générations d'acteurs et de comédiens. Des plus anciens parmi lesquels se trouvent Michel Galabru, Jacqueline Maillan, Julien Guiomar, Jacques François, Jean-Claude Brialy ou encore Roger Carel jusqu'aux membres de la cultissime troupe du Splendid, le casting est constitué d'au moins une bande trentaine de grands artistes. Du moins, parmi les plus connus dans le paysage cinématographique français. Du Splendid, seule l'actrice Marie-Anne Chazel, enceinte, manque à l'appel.Anémone elle non plus ne figure pas dans le film. On retrouve par contre Christian Clavier dans le rôle de Michel taupin, Gérard Jugnot dans celui d'Adolfo Ramirez, dont le nom laisse entrevoir très rapidement ses prises de positions, Martin Lamotte dans le double rôle de Guy-Hubert Bourdelle / Super-Resistant, Dominique Lavanant (qui rejoignait les membres du Splendid deux ans après sa création), Josiane Balasko en pharmacienne couchant avec les allemands, Michel Blanc en curé adepte de vin rouge aidant la résistance, Thierry Lhermitte en colonel SS et enfin Bruno Moynot dans le rôle de Flandu. Le point commun des quatre derniers cités étant de ne faire dans le film de Jean-Mari Poiré, qu'une amicale apparition.

Ils ne seront d'ailleurs pas les seuls puisque Jean-Claude Brialy, Jean Yanne, Roger Carel, Didier Bénureau et surtout Bernard Giraudeau (comme étant crédité rôle le plus court du film) ne feront qu'une petite apparition. Peut-être pas aussi détonante que les premiers films des membres de la troupe du Splendid (on peut leur préférer les réalisations de Patrice Leconte), Papy fait de la résistance est une comédie française cultissime, à mettre au même rang que Les Bronzés 1&2 et Le Père Noël est une Ordure. Les allemands et les collaborateurs y sont tournés en ridicule. Voir ses partisans humiliés est jubilatoire. Roland Giraud, Jean-Paul Muel, Thierry Lhermitte ou encore Roger Carel leur donner vie est un bonheur. Jacques Villeret en demi-frère d'Adolf Hitler est à mourir de rire. Un choix judicieux mais secondaire puisqu'à l'origine, il était convenu que le rôle devait revenir à LA star de la comédie française, Louis de Funès. Mort entre-temps, le film lui sera finalement dédié. L'un des aspects les plus remarquables se situe lors des passages durant lesquels l'acteut Roland Giraud s'exprime en allemand. Ne connaissant rien de la langue, l'interprète du général Spontz s'exprimait en réalité de manière phonétique. Un exploit qui fait totalement illusion devant la caméra. Alors que le film aurait pu se terminer fin de manière tout à fait classique, Jean-Marie Poiré fait durer le plaisir lors d'une parodie de l'excellente émission télévisée Les Dossiers de l’Écran que l'animateur Alain Jérôme anime d'ailleurs ici lui-même. Papy fait de la résistance demeure encore aujourd'hui comme un grand classique de la comédie français. Indémodable...

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