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mercredi 10 juillet 2024

La Conquète de la Planète des Singes de J. Lee Thompson (1972) ★★★★★★★☆☆☆



Bien que demeurant la meilleure des quatre suites au film original, Les Évadés de la Planète des Singes fera un score, dans les salles de cinéma américains, plutôt décevant. Dix millions de recette, ça n'est pas mal en comparaison des deux millions et quelques poussières investis dans le projet mais pas suffisamment selon la production. Un tournage qui du moins se sera déroulé dans des conditions bien meilleures que celles du précédent volet, Le Secret de la Planète des Singes. Si le succès n'est pas véritablement au rendez-vous, c'est sans doute parce que les producteurs, convaincus que le public débarquera en masse dans les salles obscure, ne s'est penchée suffisamment sur la promotion du long-métrage de Don Taylor et que les adolescents, ceux qui en partie constituaient jusqu'à maintenant le public ne semble pas très émus devant le synopsis d'un troisième épisode qui se penche avant tout sur les personnages de Zira et Cornelius et abandonne la science-fiction et l'action des deux premiers opus.
Toujours est-il que pour La Conquête de la Planète des Singes, on fait désormais appel au cinéaste J. Lee Thompson, lequel est connu pour avoir notamment réalisé Les Cannons de Navarone et la première version des Nerfs à Vif. De la série de films originaux dont la chronologie s'étant de 1968 à 1973, le réalisateur, scénariste et producteur britannique sera le seul a avoir la charge d'en réaliser deux. Celui-ci, donc, mais également le dernier, La Bataille de la Planète des Singes. Alors que le troisième volet ressemblait davantage à une histoire d'amour débarrassé de l'action et de la science-fiction des deux précédents, J. Lee Thompson fixe très vite ses objectifs : La Conquête de la Planète des Singes sera une œuvre engagée s'inspirant très fortement des Émeutes de Watts qui eurent lieu entre le 11 et le 17 août 1965 et qui virent s'affronter la communauté noire du quartier de Watts, dont la majorité des habitants est noire, et les forces de l'ordre. Des émeutes justifiées par l'absence de politique contre la ségrégation raciale, l'élément déclencheur ayant été une dispute entre les forces de l'ordre et trois membres d'une famille noire.J. Lee Thompson en conservera la force politique.

Pourtant, le script original, toujours écrit de la main de Paul Dehn et une fois encore inspiré par le roman de Pierre Boule, concentrait son intrigue autour du cirque et de son propriétaire, Armando (toujours interprété par l'acteur Ricardo Montalban). Une sorte de Freaks, la Monstrueuse Parade version simiesque. Un cirque abritant notamment Milo, l'enfant de Zira et Cornelius, lequel et d'autres, devaient subir les mauvais traitements infligés par un maître du nom de Breck. Mais alors que dans les grandes lignes ce script connaît de profondes modifications, le personnage de Breck qu'interprétera l'acteur Don Murray passera par plusieurs changements avant de devenir Gouverneur. Zira et Cornelius morts dans le précédent épisode, leurs personnages disparaissent fort logiquement dans cette nouvelle mouture. Ce qui n'empêche pas l'acteur Roddy McDowall de reprendre du service sous les traits de César (anciennement Milo), le fils du couple singes. Si La Conquête de la Planète des Singes n'est peut-être pas la meilleure séquelle possible, le scénario de Paul Dehn offre une alternative alléchante à l'épisode précédent.

Vingt ans après les événements situés autour des Évadés de la Planète des Singes, un virus décime les populations canines et félines. Afin de remplacer ces animaux de compagnie, il est décidé que les singes prendront leur place. Malheureusement, en raison de leurs compétences accrues en comparaison de celles des chats et des chiens, les chimpanzés deviennent peu à peu les esclaves de leurs maîtres. En découvrant le sort réservé à ses semblables, César, maintenant âgé de vingt ans, décide de leur enseigner ce qu'il a acquis dans le but bien précis de mener une révolte contre les humains...
Des humains asservissant chimpanzés et Gorilles. Un état proche du fascisme qui gangrena l'Europe durant la première moitié du vingtième siècle et dont J. Lee Thompson use de certains aspect iconographiques afin de décrire un monde à venir (celui du tout début des années quatre-vingt dix, le film ayant été tourné vingt ans auparavant) dans lequel hommes et femmes semblent avoir perdu une part de leur humanité en infligeant à leurs animaux de compagnie des traitements similaires à ceux dont fut notamment victime la communauté noire durant les « traites négrières » qui s'étalèrent sur plusieurs siècles. Ça n'est donc pas par hasard si, outre l'humaniste Ricardo Montalban, le seul véritable exemple d'humanité demeure dans le personnage de MacDonald, rôle interprété par l'acteur noir Hari Rhodes.

Le ton est donné. Finit les spectacle familial des Évadés de la Planète des Singes. Milo, devenu une fois sa capture, César, est débarrassé du regard attachant que possédaient déjà ses parents. Roddy McDowall semble aussi à l'aise qu'à l’accoutumé même si cette fois-ci, il se devra d'interpréter le rôle délicat du meneur de la révolte. Après une première et longue partie durant laquelle J. Lee Thompson nous inflige le traitement décadent subit par des primates tenus en laisse, violemment éduqués et parfois même torturés par une autorité dont l'appartenance avec une certaine Schutzstaffel (dont les membres furent connus sous le nom de SS) ne fait aucun doute, le moment est venu pour César d'apprendre à ses congénères comment trouver le moyen de se défaire des entraves qui les retiennent et de prendre le pouvoir. S'il demeure un aspect du film qui manque de sens et qui pourtant se révélait inévitable (surtout au vu du faible budget dont les fonds maigrissent à vue d’œil au fil des épisodes), c'est dans l'évolution des singes. Comment expliquer qu'en 1991, les primates de La Conquête de la Planète des Singes se dressent déjà presque aussi droits que les hommes alors qu'il leur faudrait normalement un nombre incalculable d'années pour en arriver là ? Toujours est-il qu'à part ce détail qui n'a en fait, plus vraiment d'importance, J. Lee Thompson en profite pour lancer une charge virulente contre certains aspects de la société américaine de l'époque et qui, malheureusement, n'a pas vraiment changée depuis. Si La Conquête de la Planète des Singes demeure d'un intérêt certain, c'est à travers cette montée en puissance du règne des primates, de la révolte qui en découle, et des portes qu'il laisse ouvertes à une hypothétique suite... qui ne tardera pas à être mise en œuvre puisque dès l'année suivante, J. Lee Thompson rempilera pour le cinquième et dernier volet de la saga, La Bataille de la planète des singes...

lundi 3 octobre 2016

Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? de David et Jerry Zucker et Jim Abrahams (1998)



De retour aux États-Unis après un séjour à Beyrouth où il a déjoué les plans de Rouhollah Khomeini, Mikhail Gorbachev, Yasser Arafat, Mouammar Kadhafi, Fidel Castro et Idi Amin Dada, le lieutenant Frank Drebin est chargé de la sécurité pour la venue prochaine de la Reine Elisabeth II d'Angleterre. En parallèle, il enquête sur une sombre affaire de drogue dont a été victime son meilleur ami et partenaire Nordberg, soupçonné de trafique alors qu'il avait en réalité mis la main sur un réseau de trafiquants de drogue mené par un certain Vincent Ludwig. En remontant jusqu'à celui-ci, Frank fait la connaissance de Jane Spencer, assistante de Ludwig, lequel la jette dans les bras du lieutenant afin d'en apprendre un peu plus sur lui.
Mais très vite, Frank et Jane vont tomber amoureux l'un de l'autre. Malheureusement pour Frank, lors d'une erreur de jugement reléguée par tous les médias, il va se voir retirer la protection de la Reine Elisabeth II par la maire de Los Angeles. En apprenant de la bouche de Jane qu'un attentat contre la Reine organisé par Ludwig doit être commis lors d'un match de base-ball, il décide malgré tout de s'y infiltrer en endossant le rôle d'arbitre principal du match qui va avoir lieu...

Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? est le troisième long-métrage de la série des Y a-t-il... ? Réalisés, produits et scénarisés par le trio des ZAZ formé par David et Jerry Zucker et Jim Abrahams. Si l'on tient compte uniquement des œuvres auxquelles les trois hommes ont participé, Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion ? ne peut donc être considéré comme l'un des projets officiels de la série puisque il n'ont participé ni à la réalisation, ni à la production, ni même à l'écriture. Deux ans après le second, Y a-t-il quelqu'un pour tuer ma femme ? David Zucker est seul aux commandes de Y a-t-il un flic pour sauver la reine ?, même si ses deux complices participent toujours à l'écriture du scénario.

Dans le rôle principal, l'acteur Leslie Nielsen qui jouait déjà le premier volet des Y a-t-il... ? Autre petite précision : lorsque l'on parle ici de saga, le principe des suites ne peut être considéré que dans les versions françaises des œuvres du trio. Aucune ambiguïté n'est permise lorsque l'on constate que dans leur version originale, rien ne rattache les deux premiers films des suivants qui eux, formeront une trilogie à part entière. Dans le rôle du lieutenant Drebin, Leslie Nielsen campe un flic maladroit, séduit par une Priscilla Presley de toute beauté. A leurs côtés, on retrouve l'acteur George Kennedy qui a fait le forcing pour faire partie du casting alors qu'il avait regretté de ne pas avoir été pressenti pour jouer dans Y a-t-il un pilote dans l'avion ? Une fois encore, les ZAZ font preuve d'une imagination débordante. Les gags s'enchaînent à une vitesse prodigieuse, ne laissant aucun moment de répit au spectateur qui chercher ce que peuvent receler les premier et second plans. En ouverture, nous avons droit à un panel de sosies d'une partie des plus grands « secoués » de notre histoire. Le film surfe sur la vague de la parodie en s'inspirant très souvent de classiques tels que Un Espion de Trop (le procédé d'hypnose utilisé par le machiavélique Ludwig (l'excellent Ricardo Montalban) ayant été inspiré par le film de Don Siegel), ou L'Inspecteur Harry pour la réplique « quand je vois deux types en toge poignarder un mec, je les flingue. Ça, c'est ma politique. »

Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? demeure sans doute à ce jour comme l'un des tout meilleurs films des ZAZ, en tout cas, celui dont les gags ont conservé toute leur fraîcheur. Un film à voir et à revoir. A noter que deux suite ont été réalisées par la suite : Y a-t-il un flic pour sauver le président ? En 1991 et Y a-t-il un flic pour sauver Hollywood ? En 1994, toutes les deux étant toujours interprétées par Leslie Nielsen...

 

mercredi 12 septembre 2012

Star Trek II: The Wrath Of Khan de Nicholas Meyer (1982)



Une soif de vengeance dont les origines remontent à bien des années auparavant.

Carnet de bord du capitaine James T. Kirk. Coefficient espace-temps 3141.9.

L'USS Enterprise vient d'intercepter un étrange vaisseau nommé Botany Bay. Le docteur MacCoy y détecte à son bord des battements de cœur. Le capitaine Kirk, secondé par l'historienne Marla McGivers et par le docteur McCoy lui-même, se rend sur le vaisseau et y découvre une centaine de corps endormis. Marla détermine le type de vaisseau dont il s'agit et annonce que le Botany Bay est un vaisseau-dortoir. Mais la téléportation des membres de l'Enterprise semble avoir déclenché le réveil de l'un des passagers du Botany Bay qui est sauvé in-extremis de la mort par le capitaine Kirk qui demande alors à ce que l'étranger soit téléporté jusqu'à l'infirmerie. L'homme se présente sous le nom de Khan. Kirk lui apprend qu'il est endormi depuis deux cents ans. Khan récupère assez vite des forces et les examens révèlent qu'il est physiquement et intellectuellement doté de capacités hors du commun. Spock étudie les archives mais n'en découvre aucune concernant le Botany Bay. Il étudie une hypothèse selon laquelle, dans les années 1990, à l'époque où la planète Terre vivait des heures sombres, un groupe de criminels aurait pu s'emparer de l'un des plus récents vaisseaux spatiaux. Mais sans faits, et comme le dit judicieusement Spock, rien ne peut corroborer ses propos.
A l'infirmerie, Khan reprend des forces mais lorsque le capitaine Kirk l'interroge sur les motifs de l'expédition du Botany Bay, le commandant du vaisseau-dortoir reste évasif. Permettant malgré tout à son invité de consulter la documentation de l'Enterprise, le capitaine rejoint Spock sur la passerelle qui lui apprend que sur Terre 'un groupe de supers-hommes s'emparèrent du pouvoir en 1993 dans plus de quarante nations avant d'être vaincus et de prendre la fuite à bord du Botany Bay. Khan faisait justement partie de ces hommes agressifs et arrogants.
Mais cet homme au charisme certain, qui par sa seule présence parvient à séduire l'historienne Marla McGivers et à s'en faire une acolyte, n'a désormais qu'un seul but: prendre le contrôle de l'USS Enterprise. Et pour cela, il doit tout d'abord retourner sur le Botany Bay où l'attendent ses hommes. Après une bataille acharnée entre les deux hommes dont le capitaine Kirk sort victorieux, ce dernier fait arrêter Khan mais choisit d'abandonner les charges retenues contre lui et décide de l'envoyer, ainsi que tout ses hommes, sur la planète Ceti Alpha V...

Les Derniers Tyrans est donc l'épisode à l'origine de la phénoménale colère de Khan, qui bien des années plus tard trouvera l'occasion rêvée de se venger de son ennemi juré, l'amiral Kirk.

"La vengeance est un plat qui se mange froid". Khan.

Journal de bord, date interplanétaire 8130,4

Tandis que l'équipage du vaisseau Enterprise, constitué d'anciens membres et de nouvelles recrues, subit l'échec du test Kobayashi Maru contrôlé par l'amiral Kirk, l'USS Reliant fait route en direction de Ceti Alpha VI avec l'espoir de n'y trouver aucune trace de vie afin d'y mener à bien le projet Genesis, œuvre du docteur Carol Marcus qui jusqu'à maintenant n'a pas encore rencontré le succès escompté. Chekov perçoit à la surface de la planète un léger flux d'énergie qui risque de contrecarrer les plans du projet. C'est pourquoi il se rend en compagnie du Capitaine Terell à a surface de ce que les deux hommes croient tout d'abord être Ceti Alpha VI. En réalité, cette dernière a explosé il y a quinze ans, changeant l'orbite et transformant Ceti Alpha V, la planète sur laquelle Chekov et Terell viennent d'atterrir, en un désert de sable aride. Les deux hommes tombent devant une capsule à l'intérieur de laquelle Chekov découvre des objets ayant appartenu à l'un des pires adversaires que l'Enterprise eut à combattre dans toute son histoire: Khan ! Lorsqu'il se rend compte de leur méprise, Chekov invite le Capitaine Terell à quitter de toute urgence la capsule mais il est trop tard, le piège se referme sur eux et ils deviennent les prisonniers du Tyran et des quelques survivants qui l'accompagnent depuis deux cents ans et qui ont jurer de vivre et de mourir sous ses ordres. Désormais, Khan n'aura qu'un unique but: se venger de l'amiral Kirk...


Plus qu'une suite au premier long-métrage sorti trois ans plus tôt, Star Trek: La Colère De Khan fait donc suite à l'épisode Les Derniers Tyrans, épisode datant de 1967, soit quinze années plus tôt, ce qui correspond exactement au nombres d'années qui sépare dans le long-métrage les première et seconde rencontre entre l'Enterprise et l'arrogant Khan. Car ce personnage emblématique toujours interprété par le très charismatique Ricardo Montalban a accumulé des rancœurs contre l'amiral Kirk qui ne se doute pas encore du piège qui se referme sur lui. Les scénaristes Harve Benett et Jack B. Sowards imaginent pour cela deux outils imparables. Tout d'abord la première, apparemment insignifiante mais terriblement efficace. Une petite créature qui une fois logée dans son cortex cérébral va permettre à Khan de contrôler Chekov. On pourra d'ailleurs trouver un peu facile le malaise dont est victime ensuite cet ancien chef de la sécurité devenu depuis officier scientifique sur le Reliant. Confortant ainsi l'efficacité aléatoire de cette petite créature et permettant surtout aux membres de l'Enterprise de reprendre pour un temps le contrôle de la situation.



Ensuite, le projet Genesis. Cette fabuleuse (mais pour le moment surréaliste) invention permettant de donner la vie à partir de l'ABSENCE de vie. Selon les propos du docteur Carol Marcus, "la structure moléculaire est réorganisée au niveau subatomique en une matière génératrice de vie de masse égale". En bref, il s'agit d'introduire le projet Genesis sur une planète à la surface de laquelle pas la moindre trace de vie n'est présente. Et c'est là que l'idée folle de Khan apparaît. Car l'introduction du projet Genesis sur une planète habitée aurait des conséquences terribles sur ses habitants. C'est donc à un affrontement de titans auquel nous avons droit. Entre deux personnages charismatiques (Khan donc, ainsi que l'amiral James T. Kirk toujours interprété par William Shatner). On y découvre parmi l'habituel cortège d'anciens personnages (Spock, le Docteur McCoy, Scott, Chekov, Sulu et Uhura), de nouvelles recrues dont la vulcain Saavik (Kirstie Alley, qui se permet un minuscule et très amusant dialogue dans la langue des siens en compagnie de Spock).

Des effets-spéciaux derniers cris ordonnés par le papa de Star Wars.

L'un des aspects les plus remarquable pour l'époque, ce sont les effets-spéciaux réalisés par la boite de George Lucas, ILM (Industrial Light & Magic ), ceux qui permettent de visualiser durant La Colère De Khan, les effets du projet Genesis. Pour l'époque, ils sont ce qui se fait de mieux.
Nous faisons également, et en même temps que lui, la connaissance du fils de l'amiral Kirk. Le fougueux David Marcus (Merritt Butrick). Si le film laisse entrevoir une bataille acharnée entre deux sanguins, le film recèle de scènes épatantes. Déjà, la réapparition de Khan à l'écran au début du film est l'un des moments forts. Les rides de Ricardo Montalban lui vont plutôt bien et malgré le calme de son personnage, on sent bien la amertume qui se cache derrière. Et puis il y a cette scène à la toute fin du film entre l'amiral et son ami de toujours le Capitaine Spock...



La musique, écrite par James Horner fait son travail même si, on aurait préféré peut-être à nouveau Jerry Goldsmith derrière les manettes. Elle reste cependant d'une honnête facture. Pus qu'à une suite, Star Trek: La Colère De Khan ressemble davantage à un remake long format des Derniers Tyrans auquel les années auront permit une certaine liberté au niveau des effets-spéciaux.
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