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dimanche 1 octobre 2023

L'arme fatale 2 de Richard Donner (1989) - ★★★★★★★☆☆☆




Deux ans après leur première apparition sur grand écran, deux des plus célèbres flics du cinéma d'action refont leur apparition en 1989 dans L'arme fatale 2. Toujours réalisée par Richard Donner, cette suite met donc en scène le très agité et peu conventionnel Martin Riggs (l'acteur Mel Gibson) et le bon père de famille et très protocolaire Roger Murtaugh (Danny Glover). Martin est toujours hanté par la mort de son épouse décédée dans un grave accident de la route tandis que Roger pense déjà à prendre sa retraite. L'arme fatale 2 met également en scène un nouveau personnage qui deviendra récurrent puisqu'il apparaîtra également dans les épisodes 3 et 4 sous le nom de Leo Getz, un escroc qui vient de se retourner contre son employeur et a accepté de témoigner contre lui lors d'un futur procès. Martin Riggs et Roger Murtaugh sont donc chargés de le protéger jusque là. C'est l'acteur Joe Pesci qui interprète ce petit personnage aussi difficile à maintenir en place qu'une anguille et dont la particularité est de terminer chacune de ses phrases par ''Okay, okay, okay'' ! Dans ces secondes aventures de cette légendaire série de longs-métrages de type Buddy Movie, les caractères des personnages incarnés par Mel Gibson et Danny Glover s'affrontent une nouvelle fois pour le bonheur des spectateurs qui assistent à l'une des meilleures comédies policières de la fin des années quatre-vingt. Entre répliques qui font mouche, fusillades et confrontations avec l'ennemi, L'arme fatale 2 offre un véritable florilège de scènes d'action et quelques moments plus intimistes comme la relation naissante entre Martin Riggs et Rika Van Den Haas, l'avocate de l'antagoniste du récit. Ce personnage féminin particulièrement séduisant est interprété par la chanteuse Patsy Kensit qui avant de prendre un virage à trois-cent soixante degrés en se tournant vers le cinéma était la chanteuse du groupe pop Eight Wonder qui connut notamment un immense succès en Europe avec des titres tels que I'm not Scared ou Cross my Heart en 1988. Si un stylo en or réveillera les vieux démons de Riggs, la jeune femme, elle, parviendra à les rendormir... du moins, pour un temps !


Face à nos deux flics et leur témoin, une bande lourdement armée dirigée par un certain Arjen Rudd (l'acteur Joss Ackland), ministre du Consulat de l'Afrique du Sud intouchable pour lequel Leo Getz blanchissait jusque là de très fortes sommes d'argent. Bénéficiant d'un budget plutôt confortable pour l'époque quoique loin d'être mirobolant, le nouveau long-métrage de Richard Donner passe donc des quinze millions du premier à vingt-cinq pour cette suite qui jouit de nombreux effets pyrotechniques. Cette suite est en effet le terrain de jeux d'hommes dont l'impunité les pousse à massacrer du flic à tours de bras. À intervalles réguliers, le récit central est entrecoupé de séquences plutôt drôles comme lorsque les collègues de Riggs parie sur l'éventualité pour lui d'ôter une camisole de force en moins de cinq minutes ou lorsque Murtaugh a le plaisir de découvrir en compagnie des siens et de son meilleur ami la publicité à laquelle vient de participer sa fille Rianne (l'actrice Traci Wolfe). Sans compter la fameuse scène des toilettes ou les diverses interventions de Leo Getz ! De plus, Riggs s'amuse en comparant les méchants du film à une bande de nazis dont il surnomme le chef Aryan et son bras droit Adolf  (Derrick O'Connor dans le rôle de Pieter Vorstedt) ! Sous ses allures de comédie policière, L'arme fatale n'est en pas moins doté de quelques rares séquences réellement tragiques comme la découverte du cadavre immergé de Rika lors du dernier tiers du récit. Cette première suite d'une franchise qui compte pour l'instant quatre volets (et dont nous attendons le cinquième qui doit être réalisé par Mel Gibson lui-même) sera également l'occasion pour Martin Riggs de régler ses comptes avec celui qui fut responsable de la mort de sa femme. Le film est à l'échelle mondiale un authentique succès qui dépasse de loin celui du premier volet sorti deux ans auparavant. L'arme fatale rapporta cent-vingt millions de dollars tandis que la suite, elle, en rapportera deux-cent vingt-sept ! Il faudra patienter trois années supplémentaires avant que nos deux célèbre flics de Los Angeles ne réapparaissent sur grand écran dans L'arme fatale 3, toujours réalisé par Richard Donner...

vendredi 8 mai 2020

Pure Luck de Nadia Tass (1991) - ★★★★★★☆☆☆☆



En 1981, le scénariste et réalisateur Francis Veber signait La Chèvre, sa première collaboration avec les acteurs Pierre Richard et Gérard Depardieu. Premier succès pour les trois hommes qui se retrouvèrent ensuite pour Les Compères en 1983 et Les Fugitifs trois ans plus tard, chacun des trois longs-métrages ont fait l'objet de remakes américains. Si Francis Veber s'est lui-même chargé de l'adaptation des Fugitifs, Ivan Reitman s'est quant à lui attelé à la réalisation de La Fête des Pères, qui n'est autre que celle des Compères. En 1991, la réalisatrice et productrice d'origine grecque Nadia Tass se charge de réaliser Pure Luck (Danger Public), le remake de La Chèvre. Sur un scénario de Herschel Weingrod et Timothy Harris ayant à peine apporté des modifications par rapport à celui écrit dix ans auparavant par Francis Veber, la réalisatrice réunit Martin Short et Danny Glover. Le premier connaîtra tout d'abord la célébrité grâce au rôle de Jack Putter dans l'excellente comédie fantastique L'Aventure Intérieure. Deux ans avant de jouer dans le remake de La Chèvre, il sera l'un des deux principaux protagonistes de celui des Fugitifs, Three Fugitives aux côtés de Nick Nolte. Danny Glover, qui débutera sa carrière au cinéma dans le rôle d'un prisonnier dans L’Évadé d'Alcatraz de Don Siegel, se fera tout d'abord remarqué dans Wtness de Peter Weir ou La Couleur Pourpre de Steven Spielberg avant de véritablement trouver la consécration pour le rôle de Roger Murtaugh dans la comédie d'action L'Arme Fatale aux côtés de Mel Gibson...

Tout comme Pierre Richard face à Gérard Depardieu, tout ou partie du comique de Pure Luck repose sur les nombreuses différences entre les deux personnages. D'un côté, le détective Raymond Campanella, un solide gaillard rompu à l'exercice de l'enquête privée qui pourtant avec sa dernière affaire est tombé sur un cas demeuré insoluble. De l'autre, Eugene Proctor, employé à la comptabilité d'une très grande entreprise dirigée par le président Highsmith dont la fille Valerie a disparu au Mexique. C'est sur les conseils d'un certain Monosoff que Highsmith confie cette fois l'enquête non plus seulement à Campanella mais également à Proctor. Et cela pour une raison simple : Aussi gaffeur que peut l'être Valerie, le père de cette dernière espère qu'une fois envoyé au Mexique, son employé vivra les mêmes péripéties que sa fille et qu'ainsi, Campanella et lui parviendront à la retrouver. Pour encourager Proctor à accepter de mener sa propre enquête, il fait croire à ce dernier qu'il l'a dirigera et que Campanella ne sera que son assistant...

Une fois n'est pas coutume, on retrouve l'habituelle méthode consistant à reproduire à l'exactitude le déroulement de l'histoire telle qu'elle nous était contée dans l’œuvre originale. Un moyen de ne pas avoir à s'embarrasser avec la conception d'un scénario original même si dans le cas présent les noms de Herschel Weingrod et Timothy Harris sont pourtant évoqués. On trouve ça et là quelques menues différences et quelques ajouts somme toute non négligeables mais pour l'essentiel, tout ce qui faisait l'intérêt de La Chèvre se retrouve dans le film de Nadia Tass. Tous les passages cultes y sont passés à la moulinette pour un rendu pas toujours très enthousiasmant. Qu'il s'agisse de la mémorable séquence située devant les portes coulissantes de l'aéroport (inoubliable affrontement entre Pierre Richard et Michel Fortin dans le long-métrage de Francis Veber), de la séquence nocturne se déroulant dans un bar de prostituées ou encore l'allergie de Proctor aux abeilles, la réalisatrice grecque n'en n'oublie aucune et se permet même quelques tout petits rajouts qui rafraîchissent certaines séquences pourtant malheureusement très en deçà de l’œuvre de Francis Veber. À commencer par celles citées juste au dessus et qui en comparaison de celles interprétées dix ans auparavant par le duo Richard/Depardieu font pâle figure.

Mais n'exagérons pas. Si d'aventure vous lisez ici ou là des critiques assassines qui noteront au plus bas ce long-métrage qui au demeurant s'avère objectivement inutile, force est de reconnaître que dans la longue liste des remakes américains de comédies internationales et française en particulier, Pure Luck est loin d'être aussi mauvais que certains pourraient prétendre. Le duo Martin Short/ Danny Glover fonctionne parfaitement, et même si l'on regrette certaines séquences ''précipitées'' dans leur accomplissement, c'est sans le moindre ennui et avec la possibilité de faire abstraction de l’œuvre originale que peut se concevoir le film de Nadia Tass. Une gageure que la réalisatrice relève néanmoins avec un certain allant...

mercredi 25 juillet 2018

Predator 2 de Stephen Hopkins (1990) - ★★★★★☆☆☆☆☆



Dans le premier volet réalisé en 1987 par le cinéaste américain John McTiernan, l'intrigue prenait forme en plein cœur de la forêt tropicale d'Amérique Centrale dans un pays imaginaire créé à l'occasion (Val Verde). Le Major Alan Dutch Schaefer et ses hommes y étaient envoyés afin de récupérer un ministre enlevé par des guérilleros. Dutch, George Dillon, Ramirez et les autres arrivèrent malheureusement trop tard. Mais ils allaient tous mener un combat contre une force invisible nommée Predator. Une créature venue d'un autre monde afin de chasser l'homme sur son territoire. Un humanoïde, lourdement armé, porteur d'une combinaison furtive, et rompu à l'exercice de la chasse. A la fin, et alors que tous ses hommes allaient tomber au champ de bataille à la manière des membres de l'équipage du Nostromo d'Alien, le Huitième Passager, Dutch allait mettre un terme aux agissements de la créature en débarrassant la surface de la Terre de sa présence.
Trois ans plus tard, John McTiernan a préféré ne pas réintégrer son poste de réalisateur au profit de À la Poursuite d'Octobre Rouge. Quant à Arnold Schwarzenegger, il était à l'origine prévu que l'acteur reprenne le rôle mais comme cela arrive très souvent, c'est un désaccord financier qui ruina les chances de le retrouver dans la peau du Major Dutch. Désormais, c'est le cinéaste Stephen Hopkins, auteur l'année précédente des cinquièmes aventures d'un célèbre croquemitaine en pull-over rayé de rouge et noir (Freddy 5 : L'Enfant du Cauchemar), qui accepte de reprendre le flambeau. Désormais, la guerre n'a plus lieu dans une forêt tropicale étouffante mais dans la jungle urbaine de Los Angeles où la police et et les différents cartels de la drogue colombiens mènent une guerre sans merci.

Bien qu'il ne possède pas le charisme d'Arnold Schwarzenegger, le rôle principal est désormais confié à l'acteur Danny Glover, surtout connu pour avoir joué dans les quatre volets de la saga Lethal Weapon de Richard Donner aux côtés de Mel Gibson. Le flic a remplacé le soldat. Afin de l'accompagner, il récupère le fougueux Jerry lambert, un jeune inspecteur incarné par l'excellent Bill Paxton. Ils sont de plus confrontés à leur hiérarchie et ainsi qu'à l'agent spécial Peter Keyes qui ne semble pas prêt à collaborer avec la police de Los Angeles. Le compositeur Alan Sivestri qui officiait déjà dans le premier Predator est également l'auteur de la partition musicale de cette suite. On retrouve également à nouveau les frères Jim et John Thomas à l'écriture du scénario ainsi que l'acteur noir Kevin Peter Hall sous la combinaison de la créature.

Devenu un classique de la science-fiction, le premier Predator a engendré une succession de long-métrages de plus ou moins bonne qualité. Outre cette première séquelle, le cinéaste Nimród Antal a pondu une suite plus proche de l'original avec Predators mais néanmoins pénible à regarder en comparaison avec son illustre ancêtre. Une nouvelle séquelle est même prévue pour le 17 octobre prochain. Signée par le cinéaste Shane Black, auteur notamment de Iron man 3, on espère que son nouveau film relèvera le niveau d'une franchise qui n'a fait que perdre en qualité. Et que dire des navrants Alien vs. Predator de Paul W.S. Anderson (2004) et Alien vs. Predator:Requiem de Colin Strause (2007), mélangeant deux des plus grands mythes de la science-fiction horrifique ?

A voir le résultat obtenu par des cinéastes insuffisamment préparés (ou manquant de talent) pour prétendre égaler l’œuvre de John McTiernan, Predator 2 n'est peut-être finalement pas le plus mauvais de tous et se range directement en seconde position après l'original. Pourtant, force est de constater qu'en comparaison, ce récit urbain ne possède pas le charme du cadre tropical, et ses interprètes, aussi bon fussent-ils, n'ont pas le charisme de Schwarzenegger et ses compagnons. Predator 2 flirte même parfois avec le ridicule (le rasta décapité dont la tête continue à hurler), et l'indigeste (la rencontre entre le Predator et l'enfant). L'esthétique apportée à l'image (souvent plongée dans une lumière bleutée) devient épuisante à force de devoir écarquiller les yeux pour espérer comprendre ce qui se joue devant nous (la scène du métro manque cruellement de visibilité). La sublime créature créée à l'origine par le maquilleur Stan Winston étant relativement mal éclairée, elle n'est, contrairement au film original, pas vraiment mise en valeur. Predator 2 grouille de scènes improbables. Danny Glover est beaucoup moins convaincant qu'Arnold Schwarzenegger,. Le cadre est moins plaisant, la mise en scène pas aussi maîtrisée, l'interprétation juste acceptable, la bande originale moins 'puissante', et le scénario, bien moins appréciable. Au final, et même s'il n'est pas le pire de tous, ce second volet n'arrive même pas à mi-hauteur du premier. A voir pour l'originalité du cadre qui tranche radicalement avec celui de Predator. En dehors de cela, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent à part quelques scènes de course-poursuite entre humains et alien dans une cité ravagée par le crime et la drogue...

lundi 4 septembre 2017

Saw de James Wan (2004) - ★★★★★★★☆☆☆







Si le nom de James Wan vous est totalement inconnu, soit vous venez de sortir d'un très long coma, soit vous êtes totalement hermétique au genre horrifique. Ce qui peut se comprendre au vu des innombrables productions de mauvaise qualité ayant émergé depuis le début des années 2000. Le producteur, scénariste et réalisateur d'origine sino-malaisienne a en partie redéfini certains critères en matière de films d'horreur. Il est l'auteur de plusieurs longs-métrages réputés pour leur efficacité, tels que Insidious, Conjuring : Les dossiers Warren, et Dead Silence, mais c'est avec son tout premier long-métrage qu'il s'est véritablement rendu célèbre en 2004. Saw. Un mot de trois lettres, premier film d'une longue saga qui n'a pas fini de faire parler d'elle puisque la sortie du huitième volet est prévue aux États-Unis pour le 27 octobre 2017 et chez nous (ainsi qu'en Belgique) pour le 1er Novembre prochain. Saw n'est pas qu'un pur produit horrifique à l'attention des plus jeunes. Bien que l'univers décrit par son auteur soit particulièrement glauque, accompagné de décors et d'une ambiance assez malsains, l’œuvre de James Wan est avant tout un thriller plutôt bien construit autour de deux hommes se retrouvant tous les deux enchaînés dans une même pièce au milieu de laquelle trône le cadavre d'un homme qui s'est suicidé d'une balle en pleine tête.
Des murs suintant de rouille et d'humidité. Au sol, une large marre de sang dont la couleur laisse entendre que l'homme étendu par terre n'est pas mort depuis très longtemps. Des chiottes gorgées d'excréments dont on sentirait presque l'épouvantable odeur à travers l'écran. Une baignoire remplie d'une eau trouble stagnante. Des néons clignotant, une porte massive impossible à ouvrir de l'intérieur et des carreaux qui ont perdus depuis longtemps leur blancheur et recouvrant la totalité des murs. Une Morgue ? Un tombeau ? Qui sait.

James Wan y enferme le jeune Adam Stanheight et le Docteur Lawrence Gordon (respectivement Leigh Whannell et Caru Elwes), attachés à des d'énormes chaînes, chacun à l'une des extrémités de la pièce. Le cadavre au milieu, lui, porte dans l'une de ses mains un petit lecteur de cassettes audio et dans l'autre, une arme à feu. Ces détails sont les premiers exemples d'une foule d'objets qui participeront à l'intrigue. Car Saw, non content de distiller un véritable sentiment d'angoisse (que ne ressentiront pourtant sans doute pas les plus aguerris) peut se voir comme un jeu de piste auquel sont rattachés divers éléments. Des deux cités plus haut. Comme le seront les deux scies ou les cas, les lettres ou les cassettes découvertes par les deux hommes. De ce fait, le film renouvelle sans cesse l'intérêt du public pour son intrigue. Et plutôt que de son contenter exclusivement des rapports qu'entretiennent ces deux hommes, lesquels cherchent un moyen d'échapper à leur sort, James Wan qui un temps le huis-clos lors de flash-back fort passionnants dont certains renvoient au Seven de David Fincher. C'est là qu'intervient l'acteur Danny Glover (La saga L'Arme Fatale) que l'on ne s'attendait certainement pas voir dans un tel film.

Saw marque les esprits par son étonnante simplicité. Sorte de Cluedo horrifique grandeur nature, il pousse les spectateurs, au même titre que ses deux principaux personnages à se demander qui peut bien être autour de l'horrible manège orchestré contre eux. Le final lors duquel est enfin révélée l'identité de celui qui est l'auteur de leur emprisonnement et des événements qui nous sont relatés autour du personnage du détective David Tapp demeure tout à fait stupéfiant. Impossible de deviner son identité réelle, même pour ceux qui aiment se creuser la tête. Saw est donc une très belle réussite. Dès l'année suivante, en 2005, une séquelle sera mise en chantier, réalisée cette fois-ci par Darren Lynn Bousman, lequel signera également les troisième et quatrième volets...
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