Au quatorzième siècle,
le petit village de Bouzano est le théâtre d'un lynchage perpetré
par ses habitants. En effet, depuis quelques temps, les templiers
sèment la mort autour d'eux afin d'assouvir leur désir
d'immortalité. C'est ainsi que les villageois se réunissent afin de
mettre un terme aux sacrifices dont sont victimes les jeunes vierges
de Bouzano, rites censés assurés la vie éternelles aux templiers.
Afin d'assurer la protections des habitants, décision est prise de
leur crever les yeux avant immolation afin de parer à toute
éventualité de retour à la vie des condamnés.
Six siècles plus tard,
le village de Bouzano est en liesse. Depuis longtemps, on fête cette
légende en brûlant des mannequins à l'effigie des templiers afin
d'assurer la protection des villageois. Murdo, le gardien du
cimetière, est victime des quolibets et de la violence des enfants
du village. En secret, il se prépare à aider à la résurrection
des templiers dont il est convaincu de faire partie. L'artificier
Jack Marlowe est de retour après de nombreuses années d'absence.
Anciens petit ami de Vivian, jeune femme sous le joug du maire Duncan
qu'elle doit prochainement épouser, les deux amis se retrouvent à
nouveau et s'éloignent du village afin de rejoindre le cimetière où
Murdo les prévient du retour prochain des templiers. Les amants
ignorent l'avertissement de l'idiot du village mais ce dernier,
pressé de voir sortir de leurs tombes ceux qu'il considère comme
les siens, kidnappe une jeune femme et la sacrifie. C'est ainsi,
alors que la fête bat son plein et que le soleil se couche, que les
templiers sortent de leur tombe et se dirigent vers le théâtre des
festivités afin de se venger du massacre dont ils ont été victime
six siècles auparavant...
Le Retour Des
Morts-Vivants sort en 1973. Soit
deux ans après La Révolte Des Morts-Vivants.
L'action se situe dans un village différent de celui qui sert de
décor au premier volet de la tétralogie.


Si
l'on doit comparer Le Retour Des Morts-Vivants à
La Révolte Des Morts-Vivants. Ce
second volet est bien moins réussi, et ce, à tout point de vue si l'on
excepte l'interprétation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire